Je reviens tout juste d’un voyage de 3 semaines au Japon. Ce n’était pas la première fois que je me rendais au pays du Soleil Levant. La première fois, j’y suis allée les mains dans les poches retrouver mon amoureux qui faisait son stage dans la banlieue de Tokyo. Je ne connaissais rien au pays, je ne m’étais occupée de rien, il avait tout prévu pour mon arrivée. Ce premier grand voyage à l’étranger, qui pensais-je serait sûrement le seul de ma vie, fût le début d’une passion dévorante.
Bref, depuis 8 ans maintenant, nous savions qu’un jour, nous y retournerions. A l’origine, ayant visité un peu Honshu, nous voulions pour ce retour, nous attacher à découvrir le Japon hors des sentiers battus et les îles du sud : Shikoku et Kyushu, mais finalement, pour des raisons pratiques, nous avons changé d’avis.
Avant de vous parler plus en détail de mon voyage au Japon, j’ai voulu vous parler d’abord des aspects pratiques de son organisation, car mine de rien je crois que ce voyage fût le plus complexe à préparer de tous ceux que j’ai pu faire jusqu’à présent !
Sommaire
Quelle est la meilleure saison pour partir au Japon ?
La première question à résoudre est de choisir la date du voyage.
Avril est la période la plus touristique car correspond à la saison des cerisiers en fleurs, le hanami. Si vous voyagez lors de cette période, évitez la Golden Week de début mai, tous les japonais sont en vacances et tout est pris d’assaut.
Fin octobre / début novembre est également une période très appréciée, car les érables prennent alors des couleurs magnifiques.(Début octobre, nous avons pu profiter des premières couleurs qu’à Kyoto et Koya San.)
Si les mois d’été sont ceux où il y a un très grand nombre de touristes, je ne vous recommande pas cette période (à moins que vous ne souhaitiez absolument gravir le Mont Fuji) car il fait très chaud et très humide. La météo est très désagréable. Attention également à éviter la période fin août / début septembre est la saison des typhons.
Je vous conseille également d’éviter la période des vacances de Noël pour un voyage au Japon. C’était la période où j’y suis allé la première fois. Si il n’y a quasiment aucun touriste, le train à grande vitesse Shinkansen est littéralement pris d’assaut. A cette période, les japonais sont en vacances et se déplacent pour rentrer dans leur famille pour les fêtes de fin d’année. Nous avons fait des voyages de plusieurs heures, complètement serrés comme des sardines. En plus, autour du 31 décembre et du 1 janvier, tous les sites touristiques sont fermés.
Dans notre cas, nous voulions voyager en basse saison, mais avoir du beau temps. Nous avons pensé à la période fin septembre / début octobre. Finalement, nous avons découvert après coup, que ce n’était pas une basse saison, puisque la première semaine de notre séjour correspondait à la Silver Week des Japonais (un long week-end dont les guides ne parlent pas, mais à cette période, tous les lieux plus ou moins touristiques sont pris d’assaut) et la dernière à la semaine des vacances des chinois…
Un exemple, une foule incroyable lors du grand week-end japonais, au sommet du mont Takao, une montagne accessible en train depuis Tokyo. Il y avait tellement de monde au sommet que nous n’avons jamais pu voir le point de vue… (je ne possède vraiment pas le même niveau de patience que les japonais…)
Conduire au Japon : est-ce vraiment une bonne idée ?
De manière générale, lors de nos voyage, nous essayons, lorsque cela est possible, de louer une voiture, car cela simplifie l’organisation du voyage (et d’autant plus quand on fait le choix du camping – comme en Islande ou aux USA). Bien que dans la vie quotidienne, je fais tout pour éviter de conduire – j’ai horreur de cela – mais j’apprécie la liberté qu’elle procure pour explorer des lieux un peu reculés et ne pas être contrainte par les horaires des transports en commun.
Pour le Japon, plusieurs choses nous ont fait abandonner l’idée de la location de la voiture :
- la raison principale : la difficulté des démarches pour obtenir une traduction du permis de conduire, car au Japon, le permis international délivré par la France n’est pas reconnu. Pour les courts séjours (durée < 1 an) il faut obtenir une traduction certifiée auprès de la Japan Automobile Federation. Il est possible de faire la demande sur place, mais le délai pour l’obtenir est de 1 à 2 semaines (super!) ou de faire la demande par mail et la traduction est renvoyée par courrier, sauf que celle-ci ne peut être expédiée que vers une adresse postale située sur le territoire japonais – bref trop pratique ! Néanmoins, si vous tenez absolument à conduire au Japon, sachez que l’agence Vivre le Japon propose un service de traduction de permis de conduire. Mais ne vous y prenez pas à la dernière minute car il y a un délai de 4 semaines.
- les japonais conduisent à gauche, et j’avoue bien que nous ayons déjà conduit à gauche au Royaume-Uni ou en Irlande, il faut y ajouter la difficulté des idéogrammes, et des panneaux que l’on ne comprends pas…
- peur de la difficulté de circuler et de d’avoir du mal à se garer dans les grandes villes…
Vu que le système de train au Japon est extrêmement bien développé et ultra-performant, nous avons donc finalement opté pour cette solution. Les plus beaux centres d’intérêts des îles de Kyushu et Shikoku n’étant pas accessibles en train, nous avons regardé de plus près ce que l’on pourrait faire sur l’île d’Honshu, l’île principale, et nous avons réalisé que nous étions bien loin d’avoir tout vu !
Hyperdia : l’allié indispensable pour planifier son trajet en train au Japon
Pour réaliser l’itinéraire de notre voyage, j’ai listé tous les endroits que nous aimerions voir et j’ai essayé de les relier en train. Pour cela, j’ai utilisé le site internet d’HyperDia, qui donne les horaires et les tarifs des trains pour réaliser n’importe quel trajet sur le sol japonais. Ce site est disponible en anglais et est ultra pratique, je dirais même totalement indispensable, que ce soit pour préparer son trajet, où sur place pour savoir quel train prendre.
L’intérêt de ce site est qu’il propose les itinéraires de toutes les compagnies de train. Au Japon, il existe en effet différentes compagnies : la Japan Rail, la compagnie principale, et d’autres compagnies privées.
Comme en France, il existe des TGV – les Shinkansens – ultra rapides, très fréquents, et d’une ponctualité à toute épreuve (comme tous les trains au Japon, c’est vraiment impressionnant quand on est habitué au RER parisien toujours en rade!), mais aussi une multitude de trains plus ou moins rapides : les Limited Express (un peu l’équivalent de nos TER), et les trains locaux, dont certains sont de vrais tortillards.
Si certaines villes peuvent sembler proches sur la carte, il faut néanmoins vérifier le temps de parcours avec Hyperdia, car dès que l’on sort de l’axe principal du pays (en gros l’axe du Shinkansen), cela peut être compliqué d’accéder à certains lieux. Nous avons par exemple choisi de renoncer à visiter Isé, car après notre expédition à Koya San depuis Kyoto (4 trains + 1 funiculaire + 1 bus), on s’est dit que l’on n’aurait pas envie de se relancer dans ce type de trajet pour aller voir un temple, même si c’est l’un des principaux du pays…
Acheter une carte sim ou louer routeur wifi pour bénéficier de la data en illimité
Pour notre voyage au Japon, nous avions pris une carte sim locale pour avoir accès à l’internet mobile sans payer un rein. Avoir accès à internet est devenu de plus en plus indispensable que ce soit pour avoir accès aux horaires et aux itinéraires de train via Hyderdia, aux horaires d’ouverture des musées, à Google Maps… Les forfaits proposés vont se 8 jours à 1 mois et la livraison de la carte sim se fait à l’hôtel de votre choix. L’utilisation de la carte sim est vraiment simple mais nécessite que votre téléphone doit désimlocké (ce qui est plus fréquent et plus facile de nos jours).
Une autre possibilité qui existe pour avoir accès à internet est de louer un routeur wifi livré directement à l’hôtel de votre choix et à renvoyer avant votre départ du Japon.
Est-ce-que le Japan Rail Pass vaut le coup ?
Qu’est ce que le Japan Rail Pass ?
Le Japan Rail Pass est un pass qui permet d’accéder à tout le réseau JR (Shinkansen compris sauf Nozomi et Mizuho) pour une durée donnée : 7 jours, 14 jours ou 21 jours. Il existe également d’autres pass qui couvrent une seule partie du pays (ex : pass Hokaido, pass Shikoku…).
Globalement, si vous faites plusieurs régions, il est plus intéressant de prendre le pass complet plutôt que de se casser la tête pour prendre plusieurs pass régionaux.
Comment amortir son Japan Rail Pass ?
Le Shinkansen coûte cher, et selon la durée le Japan Rail Pass est vite amorti. Si vous partez au Japon plusieurs semaines, vous pouvez regrouper les principaux trajets sur une durée plus courte pour acheter un Japan Rail Pass moins long. Dans notre cas, nous n’avions pas prévu de rester sur Tokyo puisque mon compagnon connaissait très bien la région, nous avons donc pris le pass 21 jours.
Pour vérifier que cela valait le coup financièrement, j’ai fait la somme des trajets que je pensais faire avec Hyperdia que j’ai comparé avec le prix d’achat du Japan Rail Pass. Contrairement en France, le prix du trajet en Shinkansen est fixe et ne joue pas au yoyo selon l’heure d’achat, le jour,… Un Tokyo-Kyoto en Shinkansen coûte toujours le même prix, que l’on voyage aux heures de pointe ou non. (mais d’expérience, on peut se retrouver à faire le trajet debout, tassés comme des sardines si l’on a pas de réservation, ce qui n’arrive pas dans un TGV puisque l’on est obligé de réserver une place assise).
Comment savoir si le train est inclus dans le Japan Rail Pass ?
Pour savoir si le prix du trajet est couvert par le Japan Rail Pass, il faut regarder la couleur du logo du train sur HyperDia : s’il est vert ou si c’est un Shinkansen, c’est bon, s’il est rose, il s’agit d’une compagnie privée et il faudra payer le trajet.
Les Shinkansen sont tous compris dans le JR Pass et la réservation est gratuite. La grande majorité des trajets sont couverts par le JR Pass
Lors de notre voyage en 2015, nous avions pris un Japan Rail Pass de 21 jours. J’ai comparé chaque trajet prévu individuellement et ce n’était pas forcément rentable (j’avais estimé l’écart à 1000 yens de plus pour le JR pass). Cet écart étant faible, j’avais choisi de le prendre et j’ai bien fait puisque nous avons fait un plus de trajets que prévu, et je n’avais pas non plus pris en compte plein de petits trajets qui étaient couverts par le pass.
A l’arrivée, j’ai fait une petite économie, mais surtout je nous ai simplifié la vie pendant le voyage, car l’utilisation du Japan Rail Pass est vraiment ultra pratique !
Prix 2023 des Japan Rail Pass
En 2023, le JR Rail Pass a fortement augmenté. Ce qui était un super bon plan, n’est plus si intéressant que cela. A vous de calculer ce qu’il en est par rapport au voyage que vous souhaitez réaliser (à voir en effet si les tarifs du Shinkansen ont augmenté dans les mêmes proportions)
Pass 7 jours : 307 €
Pass 14 jours : 489 €
Pass 21 jours : 611 €
Comment utiliser le Japan Rail Pass (JRP) ?
Comment se procurer Japan Rail Pass?
Le Japan Rail Pass ne peut pas être obtenu au Japon ! Il faut acheter un bon d’échange à l’étranger. Vous pouvez achetez votre bon d’échange en ligne sur le site internet du Japan Rail Pass.
Attention : le Japan Rail Pass ne peut être obtenu que pour les personnes de nationalité non japonaise disposant d’un visa touristique de courte durée (moins de 90 jours). (Les japonais ne peuvent en bénéficier que s’ils disposent d’un visa de résidant permanent à l’étranger ou s’ ils sont mariés à une personne non japonaise résidant en dehors du Japon).
Une fois arrivé au Japon, il faut échanger le bon contre le Japan Rail Pass dans l’une des nombreuses agences JR. Nous avons fait l’échange à la gare de Shinjuku à Tokyo, la plus grande gare du monde, ce qui nous a permis de bien nous perdre dans les couloirs de la gare, nous avons bien passé 30 minutes pour trouver le bon bureau JR ! Heureusement une fois le JRP en main, c’est vraiment ultra simple d’utilisation !
Comment utiliser le Japan Rail Pass ?
Une fois le pass en main, pour accéder au quai, il n’y a qu’à présenter le pass au contrôleur qui est situé à côté des tourniquets ! Plus besoin de se casser la tête à calculer le prix du trajet à chaque fois (hormis lorsque l’on emprunte les lignes privées bien sûr).
Pour réserver un trajet en Shinkansen, il suffit de se présenter à un guichet JR (il y en a un dans chaque gare JR, et un peu partout dans les grandes gares) et demander un ticket pour le train souhaité. La réservation se fait sans supplément lorsque l’on dispose du JRP et permet d’avoir la garantie d’une place assise.
Réserver les hébergements au Japon
Au Japon, il est mal vu de débarquer dans un hôtel sans réservation. Si l’hôtel est complet, vous allez mettre votre interlocuteur très mal à l’aise. Dans la culture japonaise, il est très mal vu de ne pas pouvoir répondre favorablement… De plus, les périodes de pointe n’étant pas forcément celles que l’on croit, mieux vaut s’y prendre très longtemps à l’avance !
Pour réserver les hébergements de notre séjour, j’ai tout fait par internet avant le départ. J’ai eu un peu peur au début car tous les hôtels dans notre budget étaient complets. Nous voulions commencer par Hakone ou la péninsule d’Izu et il n’y avait aucun hôtel de libre à moins de 200 € la nuit… Je m’y était prise plus de 4 mois à l’avance et quasiment tout était complet. En fait, j’ai découvert qu’il s’agissait d’un long week-end japonais. Comme ils ont peu de vacances, ils se précipitent sur leurs jours fériés pour visiter le pays. Nous avons donc changé l’itinéraire et choisi des hôtels dans des grandes villes pour commencer : Tokyo et Nagoya, villes dans lesquelles nous avons eu aucun mal à trouver un hébergement dans notre budget !
J’ai eu du mal à trouver des hébergements sur Nara et Kyoto début octobre. J’ai découvert la raison une fois sur place : début octobre représente la semaine de vacances des chinois. Le Japon était alors pris d’assaut par des milliers de touristes chinois, au point qu’à Gion, le quartier touristique de Kyoto, nous n’entendions parler qu’en chinois.
Pour réserver les hébergements, j’ai tout fait par Booking. Notre guide Lonely Planet nous conseillait bien certains hôtels via leur site web, mais la plupart du temps les interfaces sont seulement en japonais… En effet au Japon, peu de gens parlent anglais (même dans le tourisme – sauf dans les grands pôles touristiques bien sûr et heureusement cela s’améliore), ce qui ne facilite pas la tâche !
Si vous voulez vous offrir une nuit (ou plus) dans un ryokan (auberge traditionnelle – c’est vraiment à faire au moins une fois : dormir dans un futon sur un tatami, déguster un petit déjeuner japonais avec riz, soupe miso et poisson grillé, et s’il en est équipé, se plonger dans un onsen, bain public chaud japonais – un délice !), n’hésitez pas à consulter le site Japanese Guest House, qui a une interface très bien faite en anglais ou le site de la Japan Ryokan & Hotel Association.
Si après la lecture de cet article, vous êtes intéressés vous aussi pour partir au Japon, mais trouvez toujours cela trop compliqué d’organiser le séjour vous-même, n’hésitez pas à regarder du côté de l’agence Comptoir des Voyages qui propose une belle sélection d’itinéraires à personnaliser.
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12 Comments
Béné
21 octobre 2015 at 13:14Oh ça alors je vis sur Kyûshû et c’est rare de voir des voyageurs français venir sur mon île et aussi ne faire qu’elle et Shikoku. Hâte de lire le récit de voyage.
Mathilde
21 octobre 2015 at 14:35Du coup je vais te décevoir (j’ai peut être pas été très claire dans mon article), car nous avons finalement renoncé à Kyûshû et Shikoku à cause de l’histoire du permis de conduire,… On est donc resté sur Honshu, dans des endroits connus des touristes étrangers, même si on a essayé de sortir des endroits touristiques en faisant quelques randonnées… C’était d’ailleurs marrant, car nous avons fait une randonnée dans les rizières de la banlieue de Nara, et les japonais avaient l’air de se demander ce que l’on faisait là. Du coup, on a été interpellé plusieurs fois pour savoir qui on était, ce qu’on faisait au Japon, d’où on venait… 🙂
Même si j’ai adoré tout ce que j’ai vu, je regrette de ne pas avoir vu les autres îles…
Céline
21 octobre 2015 at 15:22Merci pour ce bel article plein d’infos pratiques, le Japon fait partie de nos prochaines destinations, il faut juste qu’on prenne un peu de temps pour l’organiser. Hâte de découvrir la suite de ton voyage par ici !
Mathilde
22 octobre 2015 at 18:54L’organisation d’un tel voyage demande effectivement beaucoup de temps, surtout qu’il faut s’y prendre vraiment à l’avance !
Eugenie
22 octobre 2015 at 17:39En effet il est intéressant de comparer le prix du JR pass avec les prix des billets de train via Hyperdia. Je me sers de ce site aussi pour tous mes trajets.
En revanche, voyager debout dans un TGV français arrive très souvent, notamment en période de pointe. Des places sans siège « selon disponibilité » sont vendus meme quand le train est complet…
Dommage pour la voiture.
Je n’en ai pas loué non plus, je déteste conduire, mais beaucoup de voyageurs au Japon m’ont conseillé de le faire pour Shikoku. Je ne savais pas qu’il fallait que la traduction soit envoyée au Japon directement et non pas en France. 😮
Mathilde
22 octobre 2015 at 18:53J’avais entendu parlé de ces fameuses places « sans siège » dans les TGV français, mais la fois où j’ai eu besoin de changer un billet en jour de pointe (retour de vacances scolaires + fin de pont de l’ascension), je me suis entendu dire par les vendeurs de la billeterie SNCF que c’était totalement impossible de voyager sans un billet avec place assise. Résultat, j’ai attendu pu prendre un train 1h avant celui que j’avais prévu initialement, et je suis resté coincée à la gare de Frasnes (petite ville du Jura où il n’y a pas grand chose surtout le dimanche) à attendre 7h et à regarder passer les trains complets pour Paris :/
Sinon pour la voiture, moi aussi j’ai horreur de conduire, c’est aussi pour cela que nous n’avons pas insisté, et avons préféré changer d’itinéraire !
Tugdual
19 novembre 2015 at 21:53J’ai hâte de découvrir la suite de ton périple au pays du soleil levant. Je ne connais que très peu cette destination, mise à part à travers les médias, mais c’est une endroit qui à l’ai fascinant, entre culture aux antipodes de ce que nous connaissons, grande mégalopoles, nature et montagnes, sans oublier la nourriture… Bref merci pour ces quelques infos pratiques, même si un séjour là-bas n’est pas prévu pour tout de suite, j’espère que cela pourra me servir dans le futur 🙂
Esther FR
28 novembre 2015 at 21:40Je sens que je vais passer un bon moment à lire tous tes articles sur le Japon, car c’est une destination qui me tente bien !
Mathilde
29 novembre 2015 at 09:39C’est un pays vraiment magique ! N’hésite pas si tu as des questions ! 🙂
Chrystelle
19 mars 2017 at 10:05Bonjour, nous allons au Japon du 19 juin au 13 juillet 2017. Ce sera notre première fois et nous ne parlons pas le japonais (à part quelques mots que nous essayons d’apprendre …). Nous atterrirons à Osaka et repartirons de Tokyo . Nos hôtels et rbnb sont réservés mais nous allons sans doute en annuler un pour l’histoire de la location de voiture. Du coup si tu as des infos à nous faire passer car ton article nous a bien éclairé…. merci
Mathilde
19 mars 2017 at 11:29Si tu tiens absolument à louer une voiture, l’agence Vivre le Japon dont je parle pour l’achat du JRP propose un service payant pour obtenir la traduction du permis valable au Japon (je vais mettre l’article à jour à ce sujet), mais vraiment le train est super génial pour visiter le pays et si tu restes sur Honshu je pense que c’est la solution la plus pratique.
Sinon n’hésite pas à consulter mes autres articles sur le Japon si tu cherches des idées.
En tout cas ça va être un beau voyage ! Je pense que vous allez adorer ! En plus vous y rester pas mal de temps alors vous pourrez vraiment avoir un bel aperçu du pays !
Anonyme
10 août 2017 at 17:413.5